Dégustation 3x3x3x3x3

J'ai appelé au Steak Frites et on pourrait s'y rendre vers 20h45 - 21h00.

Un peu de viande après tous ces blancs, ça ne fera pas de tord ... et il y fait moins frois qu'à la Salle Laurier!

Vincent Messier-Lemoyne a écrit:J'ai appelé au Steak Frites et on pourrait s'y rendre vers 20h45 - 21h00.

Un peu de viande après tous ces blancs, ça ne fera pas de tord ... et il y fait moins froid qu'à la Salle Laurier!

C'est parfait Vincent!

David Pellerin se joindra à nous. Nous sommes donc complets.

J'apprécierais que les participants confirment leur présence.

J'y serai

toujours présent!

yes

Toujours là!
Ce sera un excellent apprentissage en ce qui me concerne.

Oui ici ! Enfin dispo pour une dégustation !

Je confirme...

Pas le choix que d'y être : les vins sont dans mon cellier!

Merci pour vos confirmations.

Je parlerai à David et Martin ce week-end.

Pour ce qui est du déroulement, j'aimerais bien commencer la dégustation pour 18h30, question de terminer vers 20h30 et d'aller manger par la suite (pour ceux qui le désirent) au Steak Frites voisin.

Les vins seront servis en trois volets (2007 - 2008 - 2009). Olivier et moi les ouvrirons à compter de 17h30 et les transviderons dans des bouteilles anonymes.

Prévoyez au moins quatre verres, davantage si vous souhaitez suivre l'évolution des vins à l'air.

S'il-vous-plaît, apporter l'argent comptant (In God we trust, others pay cash!) exact.

Olivier, quelle est l'adresse exacte de la Salle Laurier?

400 Laurier Ouest.
Sonnette sur la gauche à la porte extérieure.

Doit on amener à grignoter pour la dégustation en tant que telle ?

Non, non ... je vais passer acheter une petite baguette si certains veulent se changer la bouche pendant la déguste.

D'accord. Merci Vincent.

demain.....Vince....ok

quelques textes pour ce mettre dans l’esprit…

Les crus dégustés
(du Nord au Sud en partant de Meursault)

Charmes : Alors que l’origine du nom, comme c’est si souvent le cas en Bourgogne, est sujette à débat, le nom de Meursault apparaît dès le 11e siècle. Dès le 17e, on fait déjà mention des Charmes. La partie dessus se verra classée première cuvée par Lavalle (juste derrière Perrières et au même rang que Genevrières Dessus, Bouchères et Gouttes d’Or). Bien personnellement, s’il est un cru qui personnifie l’image qu’on se fait du Meursault opulent, noisetté, puissant, large, mais tout de même élégant et fin, c’est bien celui des Charmes. C’est d’ailleurs le premier cru le plus étendu (31.12 ha), au point où certains critiquent la qualité des vins issus du bas des Charmes, l’assimilant davantage à celle d’un bon village. (texte de Vincent Messier-Lemoyne)

Les Combettes : Dans la continuité du Meursault Charmes, ce cru de 6,79 ha partage la roudeur des Meursault, tout en conservant l’élégance des crus de Puligny. Les vignes sont plantées sur une colline convexe offrant cette richesse de sol expliquant la générosité du vin.

Morgeot : Le plus grand des crus avec 54,23 ha incluant les lieux-dits Les Boirettes, La Boudriotte, Les Brussonnes, Champs Jeandreau, La Chapelle, Les Chaumes, Clos Chareau, Clos Pitois, Ez Crottes, Les Fairendes, Francemont, La Grande-Borne, Les Grands Clos, Guerchère, Le Petites Fairendes, Les Petits Clos, La Roquemaure, Tête du Clos et Vigne Blanche, qui revendiquent l’appellation Morgeot en premier cru et en village (à l’exception des cuvées de Boudriotte et Vigne Blanche). Ici, le sol est clairement argileux et convient mieux au pinot noir, de fait, Morgeot est la principale source de Chassagne 1er cru rouge. Les blancs, eux, tendent à être larges et gras.

Les domaines

Domaine Henri Germain : 7,85 ha en propriété, fermage et métayage. Henri Germain (oncle du regretté Benoît) s’est établi en 1973. Son fils, Jean-François, est maintenant responsable des vins, selon une philosophie peu interventionniste. Les vignes sont labourées et ne connaissent pas les herbicides.
Bien que le cellier ne soit pas des plus frais et profond, les mallos sont toujours longues à se faire. Embouteillage après 18 mois d’élevage (20 à 25 % de fûts neufs). Une très bonne source.

Domaine Ramonet : 17 ha en propriété. Noël et Jean-Claude reprirent le domaine de leur père, Pierre, en 1984. Depuis, pratiquement rien n’a changé. Les Ramonet sont autodidactes, préférant agir par instinct et prendre des risques que de travailler « by the book ». Les vins sont élevés durant 18 mois sous une bonne quantité de lies. Référence.

Domaine Étienne Sauzet : 9,24 ha en propriété. Étienne Sauzet établit un domaine de plus de 12 hectares durant les années 1920. Gérard Boudot, époux de Jeanine Sauzet, elle-même petite-fille d’Étienne, gère le domaine depuis 1974. Cependant, le domaine fut divisé en 1991 des suites d’héritages entre les petits-enfants. Depuis, le domaine augmente sa production en achetant des raisins. En bio depuis 2006, le domaine est passé à la biodynamie en 2010. fermentation en fûts à l’aide de levures indigènes, élevages en fûts sur lies pour 12 mois (dont 33 % sont neufs pour Les Combettes), puis un second hiver en cuves inox (embouteillage en mars ou avril, suite à une filtration lenticulaire, impliquant de la cellulose, plus douce selon Boudot). Référence.

Merci Alex pour les infos!

Mis en carafe depuis 7 heures ce matin, les vins se montrent très prometteurs.

En carafe depuis 7 heures...C'est beaucoup! Sauf si tu carafes en retirant 1 verre de chaque bouteille.

C'était bien évidemment une blague pour vous faire sursauter un peu.

Tel que convenu avec Vincent, nous ouvrirons le tout en fin d'après-midi.

Nous savons pourtant tous que ces vins sont de réels vins de garde appelés à se bonifier sur quelques décennies.

Olivier Collin a écrit:C'était bien évidemment une blague pour vous faire sursauter un peu.

Tel que convenu avec Vincent, nous ouvrirons le tout en fin d'après-midi.

Bel essai! Je suis venu proche ..............

Bonne dégustation!

On apporte un Bourgogne pour le repas?
Remarquez que je ne suis pas certain de pouvoir y être.. (repas)
À tantôt!