Semaine du 23 décembre 2012

Michel L, c'est en effet la prédominance du site mais pas de manière exclusive. J'ai beaucoup de vins issus de la Bourgogne en cave mais également plusieurs d'ailleurs. Impossible pour moi d'écarter de mes préférences un vin bordelais sur son plateau. Ça me fait même plaisir de faire goûter ces merveilles aux bourguignophiles

Une dégustation de Côte Rôtie sera super!!!

Les grandes places de Gerin 2006 est toujours disponible....
J'ai bien Les grandes places de Clusel-Roch 2008 mais certain seront inquiets du millesime...d'un autre cote, mieux vaut le boire jeune non...

wineboy: Je suis en mode ecoute et lecture....certains sont verbo-moteur et hyper-actif au clavier ....bonne annee

Bollinger Champagne Grande Année Rosé 2004

Un magnifique Champagne, du grand art pour un rosé d'une incroyable finesse, en subtilité plus qu'en volume. Délicates notes de fleurs, de petits fruits et de lime. Une bouche minérale, aux bulles extra-fines, qui se termine sur une finale longue et minérale, qui apporte une puissance inattendue vu la délicatesse d'ensemble. Le meilleur Champagne rosé bu jusqu'à ce jour, vraiment superbe. Un grand vin en soit, avec un potentiel indéniable. 95

Champagne Louise 1999 - Maison Pommery

En dépit des griefs sérieux que j'entretiens à l'égare des champenois et de leur manière de conduire leurs vignes - soyons clair la pire viticulture du monde! - je suis toujours épaté par leur sciences des assemblages et surtout ici de la vinification en cuverie. Car sinon comment expliquer la race de cette Louise pourtant née de rendements très confortables dans une bonne année sans plus. La couleur est claire, le cordon très fin et la matière svelte et énergique. Un vin frais, franc et noblement racé qui se singularise par un dosage modéré et une exquise finesse tactile. Avant un Bâtard fringant il a su ouvrir la voie avec brio. Très bien.

Patrick Essa a écrit:Champagne Louise 1999 - Maison Pommery

En dépit des griefs sérieux que j'entretiens à l'égare des champenois et de leur manière de conduire leurs vignes - soyons clair la pire viticulture du monde! - je suis toujours épaté par leur sciences des assemblages et surtout ici de la vinification en cuverie. Car sinon comment expliquer la race de cette Louise pourtant née de rendements très confortables dans une bonne année sans plus. La couleur est claire, le cordon très fin et la matière svelte et énergique. Un vin frais, franc et noblement racé qui se singularise par un dosage modéré et une exquise finesse tactile. Avant un Bâtard fringant il a su ouvrir la voie avec brio. Très bien.

Quand je vous lis, je suis encore plus fier de ma langue.